mercredi 28 juillet 2010




Bonsoir cher blog, il y a longtemps que je ne t’ai rien raconté, je sais.

Trois jours après avoir coulé le jeune sansonnet dans le béton de la piscine de Boris, je rentrais chez moi et sur le pas de ma porte (c’est vrai !)un pigeon qui ne volait plus attendait que quelqu’un lui ouvre parce que le chien noir de l’épicier commençait à s’approchait de lui. J’ai ouvert. Il a passé la nuit dans le couloir. Le lendemain dans mon atelier, je lui ai fabriqué une cage sous un petit Baby(encore)-foot. C’est la première chose que j’ai fabriquée dans l’atelier. Je l’ai nourri. Il s’est envolé trois jours plus tard.



Sur l’étiquette du rouleau de grillage que j’ai utilisé pour la cage, il y a deux péruches ondulées qui s’embrassent dans une cage de grillage. À l’endroit ou leurs becs vont se joindre, une s’ouvre dans le quadrillage sur toute la hauteur. On dirait que les deux perruches se libèrent d’un baiser. Le logo de la marque de grillage prends place aussi dans cette espace.

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